PJ Chapuis / Interview
PJ Chapuis et Rémy Barreyat, c'est déjà une longue histoire. Au point que ces deux-là n'ont pas l'air vraiment d'accord sur leur rencontre… On leur laissera débattre des détails dans le langage codé des vraies potes pour vous rappeler qu'ils ont déjà réalisé un edit en soixante heures à Saragosse qui avait pas mal fait parlé, l'année dernière. Demain, ils nous présente la suite, tournée à Paris en quelques heures de plus, en exclusivité sur LIVE. Histoire de vous préparer, leur collègue Julio Sola leur a posé quelques questions, tout en partageant avec nous quelques images de l'un des skateurs français les plus excitants du moment.
PNL ou RTL?
Tout dépend du mood! On reste QLF, quand même.
Le petit clin d’oeil aux “Requins”, tu nous expliques?
On voulait faire des ambiances second degré clip de rap en TN, et au final on a filmé une ligne avec…
Pueblo ou Marlboro?
Marlboro pour le début de mois, Pueblo pour la fin.
Pourquoi être parti dans ce concept de vidéo? Pourquoi cette ambiance lourde et pesante?
Bein, le concept, c’est d’être dans une ville un certain temps, d’en profiter pour aller filmer tout et n’importe quoi et après de faire un edit avec ce qu’on a accumulé comme footage, que ce soit du skate, des ambiances ou de la cuite. On met pas forcément que le skate en avant, c’est un tout. Rémy était venu me voir quand j’étais à Saragosse, ça avait aboutit sur un edit. On s’est dit qu’on referait ça ailleurs… Cet été, c’était Paris! On ne veut pas se focaliser sur un seul projet à long terme, mais sur ce qu’on fait quand on baroude ensemble, comme des souvenirs de vacances en quelque sorte. Pour l’ambiance, je sais pas, c’est à chacun de l'interpréter à sa manière.
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Comment t’es venu l’idée, toi provincial, de venir filmer une part à Paris, et nous montrer une vision de Paris différente sans les spots mythiques?
[Rires] L’oeil provincial permet une autre vision des choses surement. Après, quand tu arrives dans une ville qui n’est pas la tienne, tu es forcément excité et plus à l’affut. Mais en vrai, Remy, qui vit à Paris depuis quelques années maintenant, me chauffait à venir depuis un moment. Je suis donc venu passer quelques jours et on a filmé ces images. On ne se met pas forcément de pression sur les spots ou les tricks. On bouge un peu au pif à tel ou tel endroit sans trop savoir ce qu’on va trouver. On a remarqué que le hasard nous réservait un bon karma en général.
backside nosegrind
Et tu ne te trouves jamais sans motivation en allant en mission de nuit dans Paris sans autre compagnie que ton pote cameraman?
Absolument pas! Avec Rémy, on part dans l’optique d’aller filmer du skate mais en fait on va juste se balader et se marrer dans la rue! On se retrouve plus souvent à filmer des conneries que des lines. Y a une bonne connexion, tout simplement !
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