Exclusif

PREMIERE / "REDRIFT"

"REDRIFT" est le tout dernier cru en date teinté du dynamisme inépuisable de la scène nantaise (souvenez-vous : "L'ELDORADO" & "CHRONICLES OF THE PAST""NANT'ES SERIEUX?"...), projet audiovisuel participatif à la réalisation finalement bouclée par Mattéo Gaudin, du magazine local Ob'Session, déjà interviewé ici. Au programme : dix-sept minutes d'utilisation tant spontanée que moderne de l'architecture locale, une diversité naturelle dans les styles et approches de chacun avec créativité et originalité en prime, et un montage tant inspiré par "ATLANTIC DRIFT" que par la faune maritime locale - soit, finalement, une belle tranche de vie de crew auto-produite, qui témoigne une fois encore des qualités skateboardistiques inhérentes à Nantes à travers les décennies ("CHRONICLES OF THE PAST") - comme pour inciter à un peu plus de tolérance, voire de reconnaissance municipale pour la liberté du citoyen à jouir de son environnement.

Mattéo lui-même raconte :

"Nantes, le 21 juin 2021 : fête de la musique, go skateboarding day et solstice d'été - tous les astres sont censés être alignés pour passer une merveilleuse journée.

Or, le mauvais temps s'abat sur la cité des ducs de Bretagne, rendant la pratique de la planche compliquée. Les autorités - qui ont sûrement oublié un peu trop vite leurs erreurs d’un passé proche - gazent tout un centre-ville venu simplement écouter de la musique. C'est sous cette ambiance pesante qu'une dizaine de skaters désarçonnés se retrouvent au bord de l'Erdre.

Au programme : scotchage de canettes et dégustation de sardines calcinées à même la boîte, mêlé au charmant goût du gaz lacrymo encore omniprésent dans l’air. Les sceptres de cannettes s’agrandissent, tandis que l'on s’entête à trouver un nom de crew.

Au-dessus de nos têtes, une oeuvre d’art un peu bobo constituée de lettres de métal géantes, dont plusieurs manquent à l’appel. À la place de "REVER ERDRE", on pouvait désormais lire "RE DRE". Les esprits sont conquis, on entend "REDREEE" crié ici et là d'abord toute la soirée et puis, pour le reste de l’année.

REDRE est né.

Un an après, cette troupe s'est agrandie et s'amuse toujours autant à filmer ses petites sessions, faire la fête et même des maquettes, des cocktails et des cartes postales.

Bon visionnage !" - Mattéo Gaudin

PREMIERE / Dino Coce "SHAOLIN SPONZOR ME TAPE"

A ce point, admettre ne jamais avoir entendu parler de Dino Coce, c'est pratiquement reconnaître que d'être déconnecté des choses qui se passent à fond : sa vidéo complète, conceptuelle et indépendante "FINTA" est incontestablement l'un des produits skateboardistiques les plus originaux de ces dernières années, embrassant l'inspiration de désormais-classiques réputés dans le genre tel que "SPIRIT QUEST" par Colin Read mais avec une touche personnelle - qui n'est pas sans rappeler l'esthétique des travaux pratiques du réalisateur Michel Gondry, ou encore les montages frénétiques de Takahiro Morita ("OVERGROUND BROADCASTING"). Le résultat finalement obtenu est ni plus, ni moins qu'une approche unique du skate que Dino exporte sans concession aucune depuis la Croatie, avec amour.

Depuis la sortie de "FINTA" (dont il est toujours possible - et fortement recommandé - d'obtenir un DVD directement auprès de l'énergumène en personne, ici), Dino s'est aussi retrouvé dans l'expérimentation autour du format 'clip Instagram', sous le nom de code Orionskate, véritablement la recherche perpétuelle de mouvements qui lui sont bien propres et, eux-mêmes, explorent les réelles limites existant (?) entre la manoeuvre type de planche à roulettes et, littéralement, le tour de magie. L'insistance sur l'illusion est si certaine que la moindre dose de ses clips vous laissera perplexe quant à la nature de votre réalité - non sans évoquer le jeu d'un Gou Miyagi à l'apex de sa carrière, mais réinterprété et ce, depuis l'autre bout du monde.

En vérité, LIVE a déjà interviewé Dino deux fois, par le passé : une première fois à l'occasion de la sortie de "FINTA", dans la marmite pendant cinq ans, une lecture à retrouver ici aux côtés d'un panel de ses schémas d'étude et d'une section de la vidéo ; et une autre fois au sujet de "TABULA RASA", encore une autre vidéo indépendante qualitative signée par son compatriote Raul Žgomba et dans laquelle Dino a eu une part, en 2019, à (re-)découvrir ici agrémentée d'une discussion croisée avec le duo. A ce sujet, il faut remarquer qu'entretemps, Raul a sorti une nouvelle vidéo : "QUICKSAND", via l'impeccable magazine anglais Grey Skate Mag, comprenant une tripotée de légendes locales (titre pleinement justifié, croyez-le), évènement par ailleurs célébré avec un interview supplémentaire par le co-fondateur du Vladimir Film Festival Nikola Racan ; tout ça se mate là.

Ca y est, vous êtes au jus ? Et bien malgré tout cela, vous n'êtes probablement toujours pas prêt pour ce nouveau cadeau signé Dino : "SHAOLIN SPONZOR ME TAPE" est un montage réellement voué à susciter votre appétit pour sa prochaine réalisation format long (car oui, il bosse sur une nouvelle vidéo depuis quelque temps), mais aussi fort d'explorer en soi son lot de définitions, de formats, de concepts. Qu'est-ce qu'une 'web part' (sans rire, en vrai, c'est quoi, ce terme ?), qu'est-ce que le trick le plus technique possible - atteindre l'illumination, probablement ? Partant de ce postulat, voici une trace vidéo de Dino en phase de se transcender lui-même et ce, de moult façons plutôt que d'une.

C'était aussi une idée de Dino que de publier ce clip le 2/2/22 à 22:22 ; impossible, donc, de lutter contre les forces de l'univers. Le tout a été filmé par Dujma et Butko, salue l'appréciation de Dino à la fois pour les vidéos de skate japonaises et la spiritualité orientale au sens large et ne sera pas sans amener son lot de questions existentielles chez le spectateur moyen - plutôt efficace, pour un clip de skate sur Internet.

"VELVET" / Spencer Legebokoff / INTERVIEW

Spencer Legebokoff shoote et filme du skateboard au Canada depuis longtemps maintenant, mais son nom s'est notamment exporté par-delà les frontières avec « WALTZ », un montage réalisé en tant que pur local de sa région d'origine : l'Ouest de Kootenay, en Colombie-Britannique, qu'il était venu présenter en personne à l'édition 2018 du Vladimir Film Festival, cet évènement indépendant désormais culte et véritable phénomène sociétal se déroulant annuellement et ce, purement grâce aux efforts des locaux de Fažana en Croatie. Puisqu'il s'agit là d'une expérience pour le moins puissante, il en est revenu inspiré, confiant et décidé à pleinement se consacrer à sa vision personnelle du skateboard format vidéo, et ainsi naquit, en toute logique, cette nouvelle oeuvre : « VELVET », quelque chose de plus contemplatif (mais toutefois chargé de skate local sincère) que LIVE est heureux de partager avec vous, aujourd'hui, aux côtés d'un interview exclusif avec Spencer à son sujet, à découvrir ci-dessous !

PREMIERE / "Blunt x TACo." / Alfredo Franco / INTERVIEW

"J'ai rencontré Alfredo “Blunt” Franco au cours d'un trip de skate à Mexico City en 2006. Fort de la maturité de mes propres vingt-et-un ans, j'ai été immédiatement impressionné par la ferveur à laquelle ce type de trente-et-unes piges skatait 'toujours' - toujours à la recherche de spots, toujours à filmer et shooter, toujours à faire des trucs franchement forcenés. C'était au début du millénaire, donc en pleine époque à laquelle les pros les plus établis des années quatre-vingt-dix touchaient au même âge et où les skateurs découvraient, plus ou moins, la longévité. Et puis là vient se poser ce type originaire d'une scène méconnue qui skate tout aussi bien, si ce n'est mieux, et seulement par passion.

J'ai vraiment adoré skater avec lui, écouter ses histoires sur le skate au Mexique, et me rendre sur ses spots : quelques fontaines à base de courbes, ou encore de vieux skateparks. Nous sommes restés en contact depuis, et nous rendons visite régulièrement chez l'un ou chez l'autre.

Au fil des années, mon skate à ralenti, mais Blunt ne semble que progresser, lui. Depuis mes trente-six ans actuels, je ne peux que m'émerveiller devant ses quarante-six. Il fait partie de ce peu de skateurs semblant s'être trouvés leur fontaine de jouvence.

Mais Blunt, c'est aussi l'un des pionniers du skate mexicain, à bloc depuis les années quatre-vingt, et toujours à pousser. Il a vu sa scène s'étendre à partir de rien, évoluer, progresser, exploser. Depuis ce fameux trip en 2006, je le remarque à chaque nouveau passage : il y a davantage de skateurs, de skateparks, de marques, de vidéos, et le niveau général ne fait que croître. Blunt se trouve-là depuis le début, et ses roues persistent à tourner au gré des ans." - Brett Nichols

PREMIERE / Rubianda "MELLOW"

A moins de les avoir manqué, vous vous souvenez très probablement de Rayis Bisyir et de ses montages à la Sony VX-1000 en provenance directe de Jakarta en Indonésie, au nom d'affaires locales telles que Malacca Skateboards, ou encore Workshop Skate Orchestra avec "KHIDMAT". Les plus chanceux d'entre vous ont peut-être même été exposé à un visionnage ou deux au cours d'une édition du festival itinérant de Sergej Vutuc : Roundabout. Et bien, c'est avec grand plaisir qu'aujourd'hui, LIVE est en mesure de vous annoncer le retour de Rayis et présenter sa nouvelle production : "MELLOW" est une nouvelle réalisation - toujours impeccable - format croisé Mini-DV et Super 8 et ce coup-ci, ce sont les talents en skate de rue de Rubianda Rachman aka. Rubi Anda - smooth operator en termes de backside ollies, avec un langage corporel unique et un certain oeil pour la lecture de spot - qui sont à l'honneur et au service d'une bande-son, et bien... "mellow" (jusqu'à ce que s'ouvre en grand fracas la porte de la Seventh Chamber, s'entend) et d'un travail vidéo si abouti qu'il n'est pas sans évoquer les meilleures qualités des références et inspirations assumées de Rayis, à savoir Zach Chamberlin, Colin Read ou Far East Skate Network.

PREMIERE / Odran Fernandez "JUST ON TIME"

Les vacances à Melbourne du Montpelliérain Five-O Skateshopois Odran Fernandez (qui n'en est pas à sa première paru sur LIVE), à travers le prisme 3CCD du filmeur local Hunter D. Micaleff, en tout cas, ont l'air de plutôt bien se passer. Hunter qui, lui-même, sait kiffer ses propres vacances à grands renforts de sessions lorsque l'occasion se présente.

Pour en revenir à Odran, entre deux longs noseslides, c'est en personne qu'il nous raconte :

"Melbourne est incroyable avec des spots à gogo, c'est une ville de dingue ! Pour la petite histoire, on a eu pas mal de confinement, et le dernier en date a duré trois mois. Pendant cette période, j'ai eu la chance d'avoir été plus ou moins 'payé pour skater' puisque droit à une aide car inapte à travailler, via quelque chose qui s'appelle Centrelink, un organisme type Pôle Emploi qui me soutenait, toutes les semaines... C'était grave cool !

Du coup, pendant ce confinement, j'ai rencontré Hunter. On s'est retrouvés à filmer deux clips ensemble et la dynamique étant bonne, on a continué à en faire plus ! "JUST ON TIME" a été filmé sur deux mois, deux mois et demi, donc ça a été plutôt compact et rapide comme processus, on a été super productifs - on avait rien d'autre à foutre, en fait [rires].

Vraiment un gros big up à Hunter car, quand on allait skater, lui venait vraiment pour filmer - pas pour skater et peut-être gratter deux clips. On se rendait à chaque spot avec une idée précise en tête... Par exemple, la session pour les premier et dernier tricks, j'y ai passé littéralement deux heures : c'était la galère, probablement la plus grosse bataille que j'aie jamais mené - et lui est resté ces deux heures assis, tout ce temps avec la caméra, à changer les batteries, les cassettes... Parce que oui, du coup, on a filmé à la VX !

Le titre "JUST ON TIME" vient justement d'une certaine line filmée à point, alors qu'il ne restait plus que cinq secondes sur la cassette..." - Odran Fernandez

PREMIERE / "Hot Plate" / Marshall Nicholson

Marshall Nicholson a passé non moins de six ans sur la réalisation de sa deuxième vidéo complète en indépendant (après "FEED YOUR HEAD", et des clips tels que "JIVE") : "HOT PLATE", dont quelques parts se sont déjà retrouvées sur le net, notamment via Theories of Atlantis et Vague Skate Mag. Puisqu'il est question de Theories, d'ailleurs, on vous renvoie à cet interview (en Anglais) avec Marshall signé Mike Wine pour ce qui est d'en apprendre davantage au sujet du projet ; cet interrogatoire en règle de la part de Dom Henry pour Vague existe également.

En parallèle, Marshall est également papa à plein temps, planche sur toujours plus de nouveaux projets (vidéo, mais pas que) et s'occupe de Palms Skateshop ; aujourd'hui, il nous offre l'intégralité de "HOT PLATE", désormais visionnable d'un seul trait convergeant vers Fort Myers en Floride mais aussi N.Y.C., Baltimore, Chattanooga et Tokyo. Toute une histoire, résumée en quarante-deux minutes de Sony VX-1000 - soit le sens de la vie, selon Douglas Adams !

Greg Hunt / Interview

D'ancien pro chez Stereo Skateboards, la marque de Jason Lee et Chris Pastras, dans les années quatre-vingt-dix, à réalisateur de certaines des vidéos de skate les plus cruciales des deux dernières décennies - notamment la fameuse part de Dylan Rieder (oui, celle-là), entre autres vidéos TransWorld dont "SIGHT UNSEEN" et institutions culturelles telles que "THE DC VIDEO" ou "MINDFIELD" - le parcours de Greg Hunt est atypique. Si l'esthétique des premières vidéos Stereo, très artisanales, ainsi qu'un cadeau de la part de Gabe Morford l'ont, très tôt, incité à poursuivre sa passion pour le travail de la pellicule, son enthousiasme pour la photographie fixe persiste, peut-être, à être moins réputé que son attrait pour les images qui bougent, malgré une activité constante en matière de publication. Comme pour surligner l'importance de tout ce qu'il a bien pu documenter au fil des ans - et aussi de comment - "20TH CENTURY SUMMER", son nouveau livre chez Filmphotographic, vient justement de paraître et y figurent quarante-et-une photos auparamment jamais sorties, toutes extraites des premières pellicules jamais shootées par Greg, dans le contexte d'une tournée de skate en plein été 1995... De quoi se poser quelques questions ; ce qui tombe bien, puisque Greg en personne y répond, on l'espère, ci-dessous !

PREMIERE / Bears Skateshop "BEARS VIDEO" / INTERVIEW

La scène de Rennes est réputée de longue date pour son effervescence ; les désormais plus anciens se souviendront notamment des productions de Pacôme Gabrillagues, notamment de "CROSSWALK" en 2010 à l'aube de l'essor de la création indépendante européenne et, plus contemporainement peut-être, de la fameuse Galerie 126. La récente vidéo complète à la VX-1000 "UNCENSO-RENNES" par Théo Le Guével témoigne de la persistance des nouvelles générations locales à se montrer digne d'un tel héritage culturel et, entre autres activistes rennais par-delà les âges, Laurent Ségal se place aussi puisqu'à l'initiative de Bears Skateshop, anciennement Bamboo, ouvert sur place depuis 2004. Du coup, en un sens, c'est la célébration de presque deux décennies que représente la sortie nouvelle de cette "BEARS VIDEO", réalisée par Yoann Cailleteau mais, finalement, pas que, étant donné la variété des profils la composant somme toute, reflétant l'aspect du skateboard comme aventure humaine, d'une part et, d'autre part, suintant aussi l'huile de coude sous bien des aspects. Comme un point s'imposant à faire de lui-même, saisie fut l'occasion d'aller discuter avec l'ensemble des intéressés - qui se sont révélés avoir pas mal de choses à dire - histoire d'honorer tout ce bail à notre humble tour, quand même !

Ruben Spelta / En 5!

Le cas Ruben… Élusif sauf peut-être au détour d’une rue de Milan, sa silhouette reconnaissable se distingue tout particulièrement sur un skateboard et pourtant, aucun média de skate ne lui a jamais vraiment donné l’occasion de s’exprimer avec des mots. Aujourd’hui, il joint les deux langages et nous délivre quelques perles de sagesse skateboardistique en 5, en plus d’une toute nouvelle part qui, on l’espère, saura également vous inspirer!

PREMIERE / "SHIT PIE" / Nebojša Resanović & Hana Piščević / INTERVIEW

En Anglais dans le texte et sans effort particulier de traduction littérale, en général, recommander à quelqu'un de la "SHIT PIE" quelque soit l'heure de la journée n'est pas censé refléter les meilleures intentions pour la satisfaction sensorielle de cette personne, ou son bien-être en général. Et bien surprenamment, celle-ci, en provenance de Serbie, est une spécialité bien locale que LIVE est fier de vous servir toute chaude puisque pour ce qui est de la recette, il est réellement question ici d'authenticité, de créativité et de suffisamment de motivation pour invalider dix comptes Instagram de memes du genre. Live, laugh, loveNebojša Resanović et Hana Piščević ont bien mijoté tout ça durant la cuisson de "SHIT PIE", vidéo filmée au plus profond de la marmite et du couvre-feu local qui, finalement, scintille comme un court-métrage de skate frais, chargé de spots inédits dénichés au sein d'un même quartier de Belgrade, de tricks inventifs, d'enthousiasme brut et de conducteurs impatients. Forcément, LIVE s'est incrusté pour réclamer une part et maintenant, à votre tour de vous servir dans l'interview, ci-dessous !

Vladimir au sommet

A condition d'être au courant, qui dit mois de septembre dit aussi approche de la saison des festivals skate, désormais classiques, en Croatie avec le Vladimir Film Festival, tout fraîchement doté d'un site Internet tout neuf exposant d'ores et déjà les dates et le programme de cette édition, pour sa onzième année d'existence ; et en Bulgarie avec le Summit of the Non-Aligned, plus récent mais tout aussi motivé, dont LIVE vous a déjà parlé - notamment ici. En tout cas, c'est en ce moment, du 9 au 11 septembre que se tient le nouveau Summit à Belgrade ; puis, s'ensuivra presque instantanément le Vladimir 2021, prévu du 16 au 19 septembre à Fažana et Pula.

Histoire de communiquer ces fraîches nouvelles, quoi de mieux qu'un compte-rendu exclusif du Vladimir précédent - un poil éborgné par les circonstances pandémiques, mais qui s'est bel et bien déroulé - millésimé deux mille vingt, donc, narré par les gonzes de Amnesia Skateshop à Sliven en Bulgarie. Plus précisément, le texte est signé Martin Dechev et Yavor Ski ; les photos sont par Veliko Balabanov, déjà auteur de ce clip de Deo Katunga pour Stinky Socks et de la nouvelle vidéo Витошa Skateboards, programmée au Vladimir cette année ; quant aux images qui bougent, il s'agit de leur production précédente pour Amnesia, réalisée pour l'édition précédente.

Encore une fois, on se connecte avec l'actualité imminente du Vladimir ici (une plate-forme à suivre dans le temps, paraîtrait-il), et celle du Summit là. Pour davantage prolonger le mythe, aussi, vous pouvez opter pour la relecture du compte-rendu du Vladimir 2019, chargé en Josh Stewart (mais pas que), ici !

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